sábado, marzo 07, 2009

Florence Cassez - Carta para franceses

Veulliez excuser mon mauvais francais. Je vous presente une traduction d'une lettre écrite para une victime du petit ami mexicain de Florence Cassez. Cette lettre a été publié a La Jornada le 13 de Juin de 2008

"Florence Cassez est une enleveuse, pas une victime

Maintenant elle crie justice, mais je peux encore entendre ses cris dans ma captivité, a déclaré Cristina Rios Valladares

A l'opinion publique:

Mon nom est Cristina Ríos Valladares et a été victime d'une enlèvement, avec mon mari, Raul (libéré après quelques heures pour obtenir de l’argent) et mon fils de 11 ans. Depuis ce jour, notre vie a complètement changé. Aujourd'hui, nous subissons un exil forcé par la peur et l'insécurité. Ma famille est brisée. C'est indescriptible ce que mon fils et moi avons vécu à partir de 19 Octobre 2005 à Décembre 9 de cette année. Ce fussent 52 jours de captivité dans laquelle j'ai été victime d'abus sexuels et tous les trois de la torture psychologique. Le 9 Décembre ont été libérés lors d'une opération par l'Agence fédérale d'investigation (AFI). Accusé de l'enlèvement ont été Israël Vallarta et Florence Cassez, le dernier d'origine française, qui maintenant se présente comme une victime de mon cas et non pas en tant que complice de celui-ci.

Depuis notre libération, ma famille et moi avons vécu à l'étranger. Nous ne pouvons pas retourner par peur, parce que le reste de la bande de ravisseurs n'a pas été arrêté. Jusqu'à ce que est notre refuge, parce que vous ne pouvez pas appeler «maison» un endroit où nous avons été forcés (par l'incertitude) de vivre, nous avons entendu la nouvelle de la condamnation à 96 ans qui a valu à Florence Cassez, la femme de laquelle j’ais écouté la voix de nombreuses fois au cours de ma captivité ... la voix d'origine française que me drille jusque aujourd'hui l'oreille, la même voix que mon fils reconnait comme étant celle de la femme qui lui a pris du sang pour l´envoyer à mon mari, tout avec une oreille destiné a lui faire croire que elle appartenais a l'enfant.

Maintenant, je n'entends que Florence clame justice et crie son innocence. Et dans ses cris j’ecoute la voix de la femme qui, jalouse et en colère, a crié à Israël Vallarta, son petit ami et chef de bande que si il retournait avec moi (apres de l’avoir surpris dans la chambre en me violant) elle se vengerais en moi. Florence raconte le "supplice" de la prison, mais a la prison elle voit sa famille, fait des appels téléphoniques, donne des interviews à la presse et ne craint pas pour sa vie à chaque seconde. Je donnerais ne détail, par contre, de c'est ce que c’est le véritable enfer, c'est-à-dire, l'enlèvement.

Ni ma famille ni moi n'avons un esprit ou de force de faire une campagne médiatique, diplomatique et politique (comme elle et sa famille font) de veiller à ce que le gouvernement français et la presse nationale et internationale d'entendre l'autre version, c'est-à-dire terme des victimes de la bande à laquelle Mme Cassez appartenait. Mais on est ébranlé de l'idée que Florence, un kidnappeur, et pas seulement un copine de kidnappeur (avec qui il a vécu dans la même ferme et durant le même temps que mon fils et je suis resté en captivité), apparaît maintenant comme une victime qui lutte pour changer de sa peine. Si elle y parvient ou non, n'est plus à nous, mais toujours blessant.

Cette lettre est un soulagement. L'affaire est entre les mains de la justice mexicaine. Nous ne fairont pas d’autres interventions publiques ni des interviews à la presse ou de tout autre interventions (si bien notre indignation nous a conduit à faire certaines), parce que notre énergie est et sera placé a préserver l'intégrité de la famille et à nous remettre des dommages qu’on nous a fait. La nouvelle force qui a fait l'interpellation de la peine et le bruit médiatique autour de lui nous met de nouveaux a risque.

Merci pour votre attention.

Pour: Cristina Rios Valladares

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